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DIMANCHE 4 DECEMBRE
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Extrait de l’édition Sud Ouest Dax du 10 octobre 2011
Michel Etcheverry a ravi le public vincentien. Photo L. L.
La journée de la fête de la paroisse Notre-Dame Saint-Vincent fut le prétexte d’une grande convivialité. L’apothéose étant le rendez-vous donné par Michel Etcheverry dans le parc de la chapelle des Miracles, au milieu des platanes et des hortensias. Un endroit bucolique pour un concert délicieux.
Plus une chaise de libre ! Le très nombreux public a apprécié sa voix chaude et belle, son répertoire fait de reprises mais aussi de compositions personnelles. Le chanteur ne déçoit pas. Sa musique est rentrée dans les maisons de retraite environnantes et certainement jusque dans les chambres. Le personnage est attachant. Tout est prétexte à échange avec son auditoire. La chanson « L’Accent » lui permet de parler de Maïté, son amie landaise, de donner des nouvelles de la santé de la célèbre restauratrice avec l’assentiment de sa sœur présente. Il est attentionné et tellement poli.
Un vrai plaisir de partager sa passion de la chanson, un dimanche ensoleillé en pleine nature avec un homme délicieux et vrai.
Lydie Larrodé
Extrait du journal Sud-Ouest du samedi 1er octobre 2011
Michel Etcheverry rend hommage à Luis Mariano à Cambo-les-Bains, dimanche 9 octobre, à la salle AIEC à 16 heures (derrière le kiosque à musique, route d’Hasparren). « Je chanterai, bien évidemment, la chanson du gâteau basque de Cambo que j’avais promise à la confrérie dont je suis un médaillé, je serai accompagné comme à l’habitude par mon trio de base », précise-t-il.
Il incarne, depuis des années déjà, le chanteur basque dans toute sa splendeur. Sa voix d’or a résonné partout dans le monde et Michel Etcheverry, fait « chantre du rugby » par Albert Ferrasse, s’est produit sur les plus grandes scènes ainsi que dans de nombreux stades.
Rythme régulier
Michel Etcheverry reste pour beaucoup la référence de la chanson populaire basque. Né à Hélette (Heleta), au cœur du Pays basque en 1948, le jeune Michel Etcheverry va d’abord se passionner pour la pelote basque qu’il pratiquera très vite en professionnel. Il se forgera d’ailleurs un palmarès enviable (quatre fois champion de France et deux fois vice-champion du monde), puis se tournera vers son autre passion, la chanson populaire basque. Michel Etcheverry devient donc chanteur professionnel à plein-temps et la suite de sa carrière lui donnera raison de s’être engagé dans le show-business.
Depuis la fin des années 70, il produit des disques à un rythme régulier et ses productions rencontrent toujours un accueil enthousiaste auprès d’un public fidèle. C’est un véritable défenseur de la culture française et ambassadeur de la chanson populaire basque.
Tarifs : adultes 13 €, tarif réduit : 10 € (groupe de plus de 10 personnes, handicapés, demandeurs d’emploi, adhérents de l’AIEC), enfants moins de 12 ans : gratuit. Billetterie à l’office de tourisme de Cambo-les-Bains par téléphone au 05 59 29 70 25.
Extrait du journal Sud Ouest du samedi 1er octobre 2011
La Fête du gâteau basque, à Cambo, qui a moins de dix ans d’existence, connaît un succès qui ne fait que s’accroître. En 2010, plus de 12 000 visiteurs ont été comptabilisés durant la journée. Qu’est-ce qui les attire en foule, ce jour-là, dans la station thermale ? D’abord, bien sûr, la possibilité de déguster ou de ramener chez eux, du gâteau basque, en étant sûr qu’il sera bon.
« Dès le départ, rappelle Joëlle Garat, la directrice de l’office de tourisme de Cambo, la fête a eu comme fondement la valorisation des savoir-faire artisanaux et la qualité des produits. En faisant la promotion du vrai gâteau basque de tradition Eguzkia, qui devrait obtenir, en 2012, le label rouge, les organisateurs tirent les exposants vers le haut, avec des critères stricts de sélection. »
« Tous les artisans d’art sont inscrits à la Chambre de métiers. Les autres atouts sont l’animation, l’ambiance, les concerts de qualité et la possibilité de se restaurer sur place. C’est la qualité des prestations qui fait le succès de la fête. On ne veut pas que ce soit la fête à neuneu. »
Sans jouer les Madame Soleil, on peut prévoir que le monde sera de nouveau au rendez-vous de Cambo samedi et dimanche. En tout cas, pour le concours du meilleur gâteau basque amateur, dimanche matin, au trinquet, les inscriptions sont closes depuis mardi soir. Il y a 45 inscrits et une quinzaine pour le concours réservé aux jeunes professionnels. Les trois (au lieu de deux) ateliers de fabrication du gâteau basque, samedi après-midi, sur le stand Eguzkia, sont complets également.
Un chapitre avec Etcheverry
Parmi les nouveautés de cette éditions 2011, l’ouverture, dès le samedi, du stand Eguzkia, un concert de jazz, le dimanche après-midi, de l’Alexandre Big Band, suivi d’un concert, en l’église, du chœur Oldarra.
L’un des grands moments de la fête sera, comme toujours, dimanche en fin de matinée, le chapitre de la Confrérie du gâteau basque, suivi des intronisations. Un chapitre animé par Michel Etcheverry qui a créé une chanson spécialement dédiée au gâteau basque. Elle sera reprise en chœur. Marcel Noblia est le Grand Maître de cette confrérie fondée il y a trois ans sous l’impulsion du maire, Vincent Bru. Ce solide gaillard, fils d’une restauratrice de Saint-Pée-sur-Nivelle, ancien directeur régional du Crédit agricole, par ailleurs président du club de rugby local, souhaite que sa confrérie joue un « rôle d’ambassadeur du gâteau basque et de Cambo », qu’elle participe à la promotion de ce produit en l’associant à la ville, bref qu’il y ait un réflexe : « gâteau basque égale Cambo ». Une réputation qui s’appuie sur l’histoire des sœurs Elisabeth et Anne Bibar, surnommées Biscotx (« autrement dit « biscuit »), qui faisaient perdurer la recette du gâteau basque qu’elles tenaient de mère en fille, depuis Marianne Hirigoyen, elle-même pâtissière à Cambo dans la première moitié du XIXe siècle.
Emmanuel Planes
Extrait de l’édition Sud-Ouest du 23 septembre 2011
Michel Etcheverry donnera un récital en plein air dimanche à Buglose. photo dr
Le conseil paroissial réunissant les paroisses de Saint-Vincent-de-Paul, Buglose, Téthieu, Gourbera, Louer, Préchacq, Pontonx-sur-l’Adour, Laluque, autour de l’abbé Christian Labourse, organise une grande fête ce dimanche 25 septembre. Elle commencera par la messe de 10 h 30 à la basilique de Buglose. Un repas sera ensuite servi sous un chapiteau. Les inscriptions sont faites auprès des relais paroissiaux.
Le clou de la journée sera le concert donné par Michel Etcheverry à partir de 15 h 30 dans le cadre enchanteur de l’esplanade de la Chapelle des Miracles. Michel Etcheverry aura eu la gentillesse d’être présent à la messe : « Oui, je participerai à la messe avec notamment la »Prière à la Vierge Marie » qui m’est très demandée. J’ai l’habitude de chanter dans les lieux de culte : dix fois dans la grande cathédrale d’Amiens pour la Saint-Hubert et même au Vatican durant une croisière que j’animais. Ce sont toujours des moments émouvants. »
« Pour le récital de l’après-midi, mes cinq musiciens m’accompagneront dont Alexandre Laborde, accordéoniste dacquois : c’est dire notre motivation ! Le répertoire comprendra mes plus belles chansons, extraites des 23 albums à ce jour, et quelques titres majeurs de Luis Mariano qui me sont toujours réclamés. Parmi les incontournables de mon répertoire : « Le Clocher de mon village », « La Pointe d’accent », Le Vieux landais », « Les Palombes », entre autres et sans doute un clin d’œil appuyé à « La Dacquoise » !et il va de soi, quelques classiques de la chanson basque également ! »
En accord avec l’abbé Labourse, l’entrée est libre « ce qui est exceptionnel », confirme Michel Etcheverry. Si le soleil ne tient pas ses promesses, le repli dans la basilique est tout trouvé.
Quels sont vos projets ? « J’anime une nouvelle croisière Costa sur la Méditerranée du 12 au 19 novembre au départ de Marseille et le 2 mars, je ferai mon deuxième Olympia, pendant le salon de l’agriculture ».
Dimanche, ce sera à Buglose un concert en plein air exceptionnel à ne pas manquer.
Lydie Larrodé
Extrait de l’édition du 22 septembre 2011 du journal Sud-Ouest.
Le week-end a été festif au port à l’occasion des Journées du patrimoine et de la Fête de la rivière Dordogne.
Michel Etcheverry a terminé son concert samedi en chantant le traditionnel «Se canto ». PHOTO J.-P. N.
Grande animation le week- end dernier au port de Cavernes, avec au menu des promenades en bateau-mouche, des baptêmes en voiliers, ateliers de modélisme, balades en voitures anciennes et exposition historique sur le village.
Le point d’orgue des manifestations s’est déroulé le samedi soir avec la sardinade géante organisée par le Club nautique loubésien. Le président, Jean Vacher, son comité et de nombreux bénévoles ont préparé plus de 500 repas.
Sur scène, l’animation musicale a été de qualité avec en lever de rideau le duo « Sans additif », composé du Loubésien, Nicolas Lescombe et son compère Créonnais, Laurent Turpault. Deux voix remarquablement complices, parfois tendres, souvent clowns, les deux idéalistes ont chanté leur rêve et leur colère sur le ton de la plaisanterie et de la bonne humeur.
L’ambiance ovale
Un concert énergique et expressif qui a fait oublier la fraîcheur de la soirée. Puis le grand moment est arrivé et ce sont deux heures de plaisir qu’a offert, Michel Etcheverry avec ses cinq musiciens. Véritable troisième mi-temps de rugby avec un « monde ovale », les « Barbarians », l’hymne du Biarritz Olympique ou la penia baïona, réclamée par le public, de superbes mélodies basques et un hommage à Luis Mariano. Le détenteur d’un record jamais égalé avec trois titres de champion de pelote du Pays basque et de France en 1975, dans les trois spécialités, fronton, mur à gauche et trinquet a ému l’assistance lorsqu’il a interprété d’une voix émue « Merci pour ton amour ».
Michel Etcheverry a terminé son concert en chantant avec le public le traditionnel « Se canto ». Une soirée inoubliable avec un artiste chaleureux et d’une grande simplicité, qui s’est terminée par un feu d’artifices et un bal.
Jean-Pierre Nowak
Sortie club de MONTENDRE (17) au restaurant de la venta GORA à IBARDIN, le mardi 6 septembre, repas spectacle (Voyages PRIEURET de Libourne (33)
Père et fils se retrouvent sur scène. © Nathalie Bernues
La salle Jéliote d’Oloron était bien trop petite pour accueillir les nombreux admirateurs de Michel Etcheverry venu ouvrir les festivités de la Garburade vendredi soir.
Le ton est donné dès la première partie avec les chanteurs du Faget interprétant des chansons extraites de leur répertoire en français et en Béarnais. Puis place à Montanhas e Ribéra avec des mélodies en français, béarnais et basque.
Marcelin de Lurbe comme à son habitude a fait le show entre les parties en interprétant attifé d’habits Henri IV une chanson à ne pas mettre entre toutes les oreilles.
Puis le grand moment attendu par tous est arrivé, et ce sont deux heures de pur plaisir qu’a offert Michel Etcheverry à son publc. Interprétant ses plus belles mélodies, reprises en choeur par le public, en français ou bien en basque sans oublier l’hommage à son idole Luis Mariano dont il chantera plusieurs titres.
Son fils Patxi l’a accompagné sur quelques morceaux notamment Le Refuge d’Edmond Duplan qui a fait frissonné la salle. Après de multiples rappels, c’est en compagnie des acteurs de la première partie que Michel Etcheverry a conclu la soirée avec Aqueros Mountagnes.
Pour une première organisation il est bon de dire que la sauce a prise.
Une soirée sensible et inoubliable
La douceur d’un soir d’été accompagnait la venue au château de Roques, le 12 août dernier, du célèbre chanteur Basque Michel Etcheverry.
Près de quatre cents personnes venues de l’Ariège, mais aussi de l’Aude, de la Haute-Garonne et même des Pyrénées Atlantiques découvraient un lieu d’exception, niché en pleine verdure. L’apéritif servi dans les jardins, permettait de profiter d’un superbe panorama avant que ne débute le repas, concocté avec par le traiteur Bernat, sous un décor aux couleurs vert et rouge du Pays Basque.
Michel n’hésita pas à prendre le micro, donnant tout de suite à cette soirée une ambiance festive.
Il rejoignit ensuite la cour d’honneur, puisant dans ses 23 albums, entamait un répertoire, très vite repris par un public conquis. Chants basques, bien sûr, mais aussi pyrénéens, unissant avec talent les montagnes comme les coeurs.
Hommage avec « C’était lui, c’était Luis Mariano », « Mexico » ou, le traditionnel « Se Canto », chanté ensemble debout et qui restera mémorable.
Minute d’émotion également lorsque Michel Etcheverry interpréta, la voix émue « Merci pour ton amour », en hommage à Régine Estèbe, et en sensible complicité pour son ami Jean-Michel.
Une date à retenir : l’Olympia en mars 2012
Dès le lendemain, le chanteur et ses musiciens, reprenaient la route, pour une tournée chargée, avec notamment l’animation, pour la quatrième fois, du 12 au 19 novembre 2011, d’une croisière Costa méditerannée et un réveillon de fin d’année prévu au Palais des Congrès de Tarragone.
2012 commencera fort, avec, pour la seconde fois avec le soutien du château de Roques, un passage à l’Olympia, le 2 mars, lors d’un concert intégralement filmé (sortie d’un DVD Spécial Olympia). A cette occasion, Michel Etcheverry aura à ses côtés, pour deux duos, son fils Patxi, et Jean-Jacques Cripia, du Duo des Non. Ce concert s’inscrit au moment du salon de l’Agriculture, et sera suivi, le samedi 3 mars d’un match de rugby du « TOP 14 » qui opposera le métro Racing à l’Aviron Bayonnais
Un programme réjouissant que sauront à n’en pas douter partager de nombreux ariégeois, fidèles aux authentiques valeurs de Michel Etcheverry.
Marie Chapelier
Les festivités du quartier d’Houeillères ont débuté vendredi 19 août à 21 heures, par le traditionnel concours de belote en quatre parties qui a connu une bonne fréquentation avec 32 équipes participantes.
Samedi, suite à la canicule, les festayres ont attendu la fraîcheur de la soirée pour profiter pleinement de la fête avec un repas moules à la plancha.
La présence de Michel Etcheverry a attiré une foule considérable, assurant ainsi le triomphe de cette soirée. Dimanche soir, le repas a connu, lui aussi, une forte augmentation de fréquentation et dès le début de la soirée, la banda Les Bundy’s a enthousiasmé le public apportant un air de feria, tant apprécié dans la région.
Lundi, dès 13 heures, la foule a convergé vers le quartier pour savourer la fameuse escargolade de clôture. Sur la place, les tables étaient combles, le repas affichait complet et c’est à contrecœur que le comité des fêtes a été contraint de refuser du monde. La soirée s’est prolongée par un bal, puis par un splendide feu d’artifice musical qui, vu sa qualité, ne pouvait qu’émerveiller l’assistance.
Le succès grandissant des fêtes du quartier d’Houeillères est dû au dynamisme du comité des fêtes et à sa volonté d’ouverture aux autres. Cette union a permis de mobiliser plus d’une soixantaine de bénévoles. À cette occasion, comme tous les ans, de nombreux vacanciers sont venus s’impliquer dans l’organisation de la fête, en donnant un précieux coup de main à leurs amis auzanais du quartier.
Henri Portes
Dimanche soir, la banda Les Bundy's a dynamisé le public. photo dr
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